La réforme de la facturation électronique entre progressivement en vigueur dès 2025, avec une généralisation prévue pour 2026. Cette transition numérique impactera toutes les entreprises françaises assujetties à la TVA. Voici 4 points essentiels à retenir pour se mettre en conformité.

1.Un calendrier clair à respecter

• 1er septembre 2026 : obligation d’émission pour toutes les entreprises

• 1er juillet 2025 à 2026 : obligation de réception déjà en place

Le non-respect des délais exposera les entreprises à des sanctions et à des retards dans leurs règlements.

La réforme majeure à venir : la facturation électronique deviendra obligatoire pour toutes les entreprises françaises assujetties à la TVA, dès septembre 2026 pour les grandes sociétés et ETI, puis en septembre 2027 pour les PME et micro‑entreprises.

2. Choisir une plateforme certifiée (PDP ou PPF)

Pour émettre, transmettre et recevoir les factures électroniques, chaque entreprise devra passer par :

• soit une PDP (Plateforme de Dématérialisation Partenaire) : agrée par l’État, connectée directement au portail public

• soit la PPF (Portail Public de Facturation) : équivalent modernisé de Chorus Pro

Odys peut accompagner le choix, l’intégration et la formation à ces outils, selon la taille et les flux de l’entreprise.

3. Sécuriser les échanges et garantir l’intégrité

Les factures électroniques doivent être :

• authentifiées via signature électronique qualifiée

• archivées de manière légale et horodatée

• transmises dans un format structuré (UBL, CII, Factur-X)

Odys propose des solutions intégrées et conformes au cadre réglementaire, avec un focus sur la cybersécurité.

4. Une opportunité d’automatiser la gestion comptable

Au-delà de l’obligation légale, la facturation électronique permet :

• une réduction des erreurs

• un gain de temps pour les équipes administratives

• une meilleure traçabilité pour la gestion comptable et fiscale

Odys aide les TPE/PME à transformer cette contrainte en levier de performance.